La programmation extérieure du 35e Festival Juste pour rire ! - FESTIVAL DU NOUVEAU CINÉMA ET BLADE RUNNER ! - Lettre ouverte aux Prix Gémeaux 2017 - Festival Juste pour rire | Rêveurs Définitifs – Un voyage dans l’iréel ! - LEVÉE DE FONDS OSEZ ! - Une très grande première ou un très grand classique | FOOTLOOSE - FINALISTES DES PRIX GÉMEAUX 2017 ! - FOOTLOOSE LA COMEDIE MUSICALE | EXTRAITS DE PRESSE ! - Les finalistes des 32es prix Gémeaux sont… - Mozart Group au Théâtre Jean-Duceppe ! - Le problème d’infiltration | Tapis rouge ! - GOON : LE DERNIER DES DURS À CUIRE | TAPIS ROUGE - Conférence de presse | TRIOMPHE DE L’ARGENT - Juste pour rire s’implante en Afrique !! - Le gala des Prix Gémeaux 2017 -

Regards palestiniens | Cinémathèque québécoise

Montréal, le 23 novembre 2015 – À la Cinémathèque québécoise, les 2, 3 et 4 décembre 2015, Regards palestiniens (9e édition) présente huit films de réalisatrices palestiniennes donnant leur vision du néo-colonialisme israélien, qui tantôt terrorise et tue, tantôt intimide et harcèle. La Palestine est sous le regard des médias et des organisations internationales depuis 70 ans, et pourtant les meurtres d’innocent(e)s et l’oppression se poursuivent en toute impunité. Au Québec, plus de 400 ans de colonialisme continuent de réduire les Premières Nations à la misère et aux souffrances. Tout comme les autochtones d’ici, ce sont les femmes et les enfants palestiniens qui sont les premières cibles de l’État, l’armée et la police.

La série, qui s’ouvre sur une quête visant à retrouver les archives du Front de libération de la Palestine disparues en 1982, invite ensuite à suivre le regard de jeunes adultes sur l’attaque du Sud du Liban perpétrée par l’armée israélienne en 2006, et enfin, explore la complexité de la vie pour les personnes tentant de survivre dans Gaza assiégée. Chacun de ces longs métrages est précédé de films courts explorant les sensations et les affects de vies soumises à un état d’exception. Ces films réalisés par des femmes palestiniennes portent un regard sur la vie ordinaire dans une Palestine sous occupation permanente.

 

SOURCE : Ixion Communications