« Par ailleurs, la Ville de Montréal n’arrive pas depuis 2014 à renouveler son plan de lutte contre le profilage racial ni à mettre sur pied une unité contre les crimes haineux. Les médias et l’industrie des arts et de la culture ne font guère mieux. En plus de véhiculer des stéréotypes sur les communautés racisées et les autochtones, ces milieux ne leur laissent pas la parole. À peine 5 % des premiers rôles à la télévision leur reviennent et on peut compter les chroniqueurs issus de la diversité culturelle au Québec sur les doigts d’une main »