« Il y a quelque chose d’infiniment déprimant à entendre un enfant de l’immigration de 23 ans, qui est né et a étudié au Québec, dire en 2016 qu’il vaut mieux changer de nom pour s’assurer d’être considéré « comme un humain, tout simplement (…) Une étude de la Commission des droits de la personne l’a déjà prouvé. C’est inquiétant. On est obligé d’envisager la piste du poids de la discrimination, car ces jeunes sont nés ici, sont formés ici et ont de l’expérience de travail ici. »