« Il est vrai que pour beaucoup de Québécois le fait de s’employer à «illustrer», «discuter», «palabrer» et « mesurer » le racisme est une chose vaine, parce que de toutes façons le racisme, ça n’existe pas, tant notre société est inclusive et historiquement minorisée.
Alors pourquoi une consultation devrait changer les choses? Soyons honnêtes, le racisme ne s’arrêtera pas au lendemain de la commission, tout comme le patriarcat ne s’arrête pas avec l’institutionnalisation des luttes féministes. Par contre, une commission, bien conçue, peut avoir des vertus que l’on ne peut évacuer »