« Une aubaine, donc, pour tout politicien en quête d’appuis, qui peut ainsi flatter le « nous » en montrant « l’autre » du doigt… Et si le problème était ailleurs ? Et si, contrairement à ce que la droite identitaire nous répète constamment, le problème n’était pas le nombre d’immigrants qu’on veut intégrer… mais bien l’intégration de ces immigrants ? Et si le problème n’était pas la « capacité » d’accueil… mais l’effort d’accueil ? »